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Piqûre du français : La douleur – Page 2

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Titre
Après une série d'examens, Karina apprend qu'elle souffre d'une maladie chronique inflammatoire et dégénérative des articulations: la polyarthrite rhumatoïde. Elle est découragée en apprenant la nouvelle. Son médecin l'envoie voir un rhumatologue. Ce dernier lui dit qu'il y a de l'espoir, qu'il est possible de soulager la douleur, de prévenir les crises et de les atténuer par la médication et un mode de vie approprié. Dans des cas plus graves, on répare par une chirurgie les articulations endommagées. Karina décide de se battre pour garder la meilleure qualité de vie possible et pour éviter une opération.

Ainsi commence la lutte contre la maladie. Tout d'abord, la médication. Karina suit avec assiduité les prescriptions du rhumatologue, elle n'oublie jamais ses anti-inflammatoires pour soulager les douleurs et les médicaments pour la polyarthrite rhumatoïde. En même temps, elle tient un journal de la douleur, selon la recommandation de l'infirmière qu'elle rencontre régulièrement pour le suivi de la maladie. Elle inscrit les moments où elle a très mal, elle décrit ses douleurs (légère, modérée, intense, intolérable, etc.) et elle les évalue selon une échelle numérique de 0 à 10. Elle note les antalgiques qu'elle prend avec leur posologie et les effets obtenus. Tout est écrit: les exercices, les moments de détente, les raisons du soulagement de la douleur ou de son augmentation. En plus de prendre des médicaments, Karina fait attention à son alimentation. Elle mange des fruits et des légumes frais à tous les repas et diminue sa consommation de viande rouge. Elle entreprend aussi un programme d'exercices physiques et de relaxation. C'est le début d'une nouvelle existence.
Après une série d'examens, Karina apprend qu'elle souffre d'une maladie chronique inflammatoire et dégénérative des articulations: la polyarthrite rhumatoïde.Elle est découragée en apprenant la nouvelle.Son médecin l'envoie voir un rhumatologue.Ce dernier lui dit qu'il y a de l'espoir, qu'il est possible de soulager la douleur, de prévenir les crises et de les atténuer par la médication et un mode de vie approprié.Dans des cas plus graves, on répare par une chirurgie les articulations endommagées.Karina décide de se battre pour garder la meilleure qualité de vie possible et pour éviter une opération.Ainsi commence la lutte contre la maladie.Tout d'abord, la médication.Karina suit avec assiduité les prescriptions du rhumatologue, elle n'oublie jamais ses anti-inflammatoires pour soulager les douleurs et les médicaments pour la polyarthrite rhumatoïde.En même temps, elle tient un journal de la douleur, selon la recommandation de l'infirmière qu'elle rencontre régulièrement pour le suivi de la maladie.Elle inscrit les moments où elle a très mal, elle décrit ses douleurs (légère, modérée, intense, intolérable, etc.) et elle les évalue selon une échelle numérique de 0 à 10.Elle note les antalgiques qu'elle prend avec leur posologie et les effets obtenus.Tout est écrit: les exercices, les moments de détente, les raisons du soulagement de la douleur ou de son augmentation.En plus de prendre des médicaments, Karina fait attention à son alimentation.Elle mange des fruits et des légumes frais à tous les repas et diminue sa consommation de viande rouge.Elle entreprend aussi un programme d'exercices physiques et de relaxation.C'est le début d'une nouvelle existence.